Lifou, lé fou cette île
[Article écrit par Pauline]
Une arrivée très prometteuse
Après avoir passé quatre jours dans la « grosse » ville de Nouvelle-Calédonie, il était temps de partir vers des contrées plus exotiques : à nous les belles plages de cartes postales ! Avec Lifou, on n’a pas été déçu sur ce point et on y a découvert bien plus encore ! Allez, je vous emmène avec nous sur cette île !
Lifou fait partie des Loyautés, un groupe de quatre petites îles situées à l’est de la grande terre. Lifou est la plus grande de ces îles, avec une superficie égale à celle de la Martinique. Par contre, niveau population, ce n’est pas du tout comparable : alors que la Martinique compte environ 384000 habitants, sur Lifou, ils ne sont que 9000 ! Moins touristique que l’île des Pins (qu’on visitera par la suite), les îles Loyauté sont apparemment des destinations privilégiées pour découvrir la culture kanak.
Trente minutes d’avion depuis Nouméa suffisent pour rallier l’aérodrome de l’île. En jetant un coup d’œil dans le hublot en arrivant à Lifou, on s’est vraiment rendu compte qu’il n’y avait pas beaucoup de monde : quasiment aucune habitation, seulement de la végétation. A l’arrivée, on est monté directement dans la navette de l’île pour rejoindre Wé, la ville principale. Il fallait qu’on fasse des provisions pour les jours à venir avant de rejoindre notre camping beaucoup plus au sud de l’île. Wé a beau être la plus grande ville, c’est quand même pas très grand : on a eu du mal à trouver une supérette digne de ce nom ! A l’intérieur, les prix défiaient toute concurrence : 1068 francs le kilo de tomates, soit neuf euros. On a la photo pour le prouver :
Pour rejoindre notre camping depuis Wé, une seule solution s’offrait à nous : faire du stop. Pouce à peine levé, qu’une dame s’est arrêtée pour nous prendre. Maria (notre conductrice), qui nous avait vu prendre en photo les tomates, se rendait dans la tribu de Luengoni, justement là où se trouve notre camping, parfait ! Sur le chemin, on a eu le droit à la visite guidée : ici la tribu de Jozip, là la tribu de Joj.
Trois fois déjà que j’utilise le mot « tribu », il faut peut être que je vous explique ce que c’est, même si vous vous êtes surement rendu compte que c’était à peu près l’équivalent d’un village. En fait, les kanaks ont ici leur propre organisation sociétale qui vient s’ajouter à l’organisation administrative française classique. On trouve d’abord le clan, ensemble de familles ayant un ancêtre commun, puis la tribu qui réunit plusieurs clans et est dirigée par un grand-chef entouré de son conseil des anciens (composé de chefs de chaque clan). Ces personnes sont chargées de faire respecter la coutume, le code de conduite kanak, sur leur territoire. La « coutume » est un ensemble de règles qu’il est assez difficile de bien comprendre quand on est juste de passage en Nouvelle Calédonie. Par exemple, la coutume veut qu’on offre un cadeau en signe de respect quand on pénètre chez quelqu’un ou quand on célèbre certains moments importants de la vie. Pas très différents de notre bouquet de fleurs me direz vous, mais ici, ce geste revêt un caractère très symbolique et est une marque de respect. La « coutume » instaure aussi des tabous : cela peut être des lieux où personne ne peut aller ou seulement un clan en particulier. Un tabou peut aussi être édicté sur une ressource. Par exemple, la viande de tortue est tabou : il n’y a que les grands chefs qui peuvent en manger.
Après ce petit aparté sur la culture kanak, je reprend le récit de notre arrivée sur l’île. Nous étions donc en voiture avec Maria, et, sur la route qui nous menait à notre camping, on a eu l’occasion de découvrir de belles cases aménagées dans les jardins. Là encore un petit aparté s’impose. Ici, à Lifou, toutes les familles ont leur propre case traditionnelle, une sorte de hutte circulaire avec un grand toit en paille, construite à côté de maisons plus ordinaires. Elles permettent de loger des membres de la famille, et il y fait plus frais pendant la saison chaude. Les plus grandes cases sont celles des chefs, où ont lieu les cérémonies et les conseils, on les appelle « chefferies ». Elles sont toujours surmontées d’une belle sculpture en bois, une « flèche faîtière ».
Avec Maria, on n’a pas vu le temps passer. On avait plein de questions à poser et notre conductrice avait l’air toute contente de nous faire connaître sa culture. On a beaucoup parlé de cuisine pendant le trajet (oui, ça me manque…) : crabe de cocotier sauce coco, ragoût de roussettes (une sorte de chauve-souris), bougna au poulet ou poisson (plat traditionnel parmi les plus populaire qui ressemble un peu au hangi), la cuisine kanak n’a plus de secret pour nous ! On est arrivé au camping en fin de journée et on a été accueilli par Agathe, la gérante, qui nous a fait faire le tour du propriétaire : une belle pelouse verte pour poser sa tente à l’ombre des cocotiers (attention quand même pas trop prêt des cocotiers, danger!), un faré (abri avec des tables), une cuisine très bien équipée, des douches chaudes et… clou du spectacle : une plage magnifique juste à nos pieds. Apparemment, beaucoup de personnes la considèrent comme la plus belle plage de l’île et on ne va pas les contredire ! On a découvert la plage juste à temps pour le coucher de soleil. En la longeant, on a soudain aperçu une ombre qui nous rattrapait dans l’eau : c’était une raie ! L’eau était tellement transparente qu’on la distinguait parfaitement. Après avoir marché un peu plus loin, on a de nouveau aperçu l’ombre qui revenait vers nous. La raie qui revenait ? Et bien non, c’était une tortue cette fois ! Et pour ne rien gâcher à ce début de soirée, le coucher de soleil était magnifique… On n’en espérait pas tant pour notre arrivée sur l’île, ça a mis la barre haute pour la suite du séjour !
De belles rencontres
Nos attentes n’ont pas été déçues ! Lifou a été un véritable coup de cœur, tant pour ses paysages que pour les personnes que nous y avons rencontrées, locaux et touristes. Dès notre premier jour, on a fait la connaissance de Ludivine et Sylvain, eux aussi en tour du monde. Ils ont débarqué au camping alors qu’il pleuvait des cordes, en shirt et T-shirt tous les deux, dégoulinant de pluie. La conversation s’est tout de suite engagée autour de nos voyages respectifs et le courant passant très bien entre nous, on a finalement passé beaucoup de temps ensemble. Ils nous ont d’ailleurs fait découvrir les saucisses de poulet, seule nourriture pas trop chère ici, et on les en remercie encore. Autres rencontres sympas : Malou et Marine, qui nous ont promené en stop pendant tout un après-midi et Claire et Romain, deux métros vivant à Nouméa qu’on a rencontré à la fin du séjour et qui nous ont dépanné plus d’une fois.
Et puis, il y a eu tous les habitants de Lifou : pas forcément tous hyper chaleureux et souriant au premier abord, mais d’une véritable gentillesse et très faciles d’accès. Pour peu qu’on prenne la peine d’engager la conversation, ils sont toujours très contents de parler de leur culture et de leur île. On nous avait dit que le marché de Wé était un bon endroit pour aller à la rencontre des locaux, mais qu’il ne fallait pas arriver trop tard : ici les gens se lèvent tôt, à 6h00 tout le monde est déjà bien réveillé. Nous y sommes donc allé vers 8h00. Sur le marché on ne trouve pas de gros étalages de fruits et légumes, on y vend principalement des surplus de récolte, des gâteaux, de la confiture et du jus de fruits maison. En fait, c’est surtout un moyen pour les gens de se retrouver tous ensemble. Là- bas, on a pu découvrir les crabes de cocotiers (énormes !) et les roussettes, on a aussi discuté avec les locaux qui nous ont parlé de plusieurs accidents survenus avec des requins dans l’île, des histoires à faire froid dans le dos ! Un monsieur, qui vendait des avocats, nous a interpellé dès notre arrivée et nous a offert comme ça, au bout de 2 minutes, un avocat. Ce n’était pas le premier, le matin même, le proprio du camping nous en avait offert deux. Bon OK, les gens en ont tous beaucoup dans leur jardin et on nous avait dit qu’ils en donnaient même au cochon, mais ça fait toujours très plaisir d’en recevoir en cadeau !
On a fait d’autres belles rencontres grâce au stop. La plus marquante : Evelyne et sa nièce Odette, qui nous ont transportés jusqu’à l’autre bout de l’île et ont même fait un petit détour exprès pour nous emmener voir un des plus beaux coins, les falaises de Jokin. En route, on a beaucoup parlé de la culture kanak, de la coutume et en particulier des mariages. Ici, c’est vraiment toute une histoire quand une famille a à préparer un tel évènement : le mariage dure plusieurs jours, plus de 1000 personnes sont invitées et tout est organisé par la famille du marié. Le travail est colossal : il faut construire des abris pour la cérémonie, prévoir des logements pour la famille de la mariée qui sera sur place pendant plus d’une semaine, organiser des pré-festivités pour récolter de l’argent et préparer le repas du mariage composé de bougna – quand on sait qu’il faut environ 6 heures pour préparer un bougna normal, je vous laisse imaginer un bougna pour 1000 personnes… Huit mois après le début des préparatifs, la cérémonie peut avoir lieu et dure plusieurs jours : on mange, on danse, on boit et on fait la coutume, entendez par là, on s’offre des cadeaux. Sauf qu’ici il n’est pas rare d’offrir de gros ignames ! On en a appris encore bien plus avec elles, mais je ne peux pas tout vous raconter ici, vous allez finir par vous endormir. Au moment des au revoir, Evelyne nous a offert deux gros beignets à la banane. On était tout gêné car elle nous avait déjà bien rendus service, mais devant son insistance (et la bonne odeur des beignets !) on a fini par les prendre !
Et des exemples de rencontre sympas comme ça, à Lifou, c’est garanti. On a entendu beaucoup d’autres touristes nous raconter leur rencontre et témoigner une fois de plus de la gentillesse et de l’hospitalité des gens d’ici. Malou et Marine par exemple, alors qu’elles visitaient une église, ont été invitées par un monsieur à participer à la cérémonie de deuil organisée en l’honneur de sa fille. Elle ont donc été accueillies dans sa tribu et ont passé un après-midi très joyeux : danse, musique, festin. Elles ont même pu assister à la coutume : tout le monde s’offrait des billets et des ignames, elles n’ont pas compris grand-chose mais ont reçu un billet de 1000 francs.
Mais la meilleure rencontre qu’on a faite restera John, le voisin de notre camping. C’est Sylvain qui le premier a engagé la conversation avec lui. Au bout de quelques minutes, John, nous invitait déjà à l’accompagner pour la chasse aux crabes de cocotiers. Génial ! Le soir-même, vers 21 heures, on est donc parti tous les cinq équipés de lampes frontales. Le crabe de cocotier ne se pêche pas, il se chasse : en journée il se réfugie dans les falaises de l’intérieur de l’île et à la nuit tombée il descend vers la plage pour se nourrir (de noix de coco !). C’est à ce moment qu’il faut essayer de l’attraper, ce qui n’est pas une mince affaire, vu la taille de ces bestioles. Ce soir-là, on a donc commencé à s’enfoncer dans la jungle jusqu’à arriver aux fameuses falaises. Il avait beaucoup plu la veille, John a donc préféré ne pas chasser en haut des falaises (trop glissant) mais plutôt dans les grottes ouvertes qui y sont creusées à peu près à mi-hauteur. On a donc escaladé un tout petit peu jusqu’aux grottes. Rien que cette petite balade valait le coup de s’être bougé ce soir. Jungle pleine de lianes et de fougères, falaises calcaires surmontées de banians aux énormes racines dégringolantes, grottes aux stalactites et stalagmites recouvertes de mousses : avec l’éclairage des frontales, on avait l’impression d’évoluer dans une forêt fantastique. On espérait quand même trouver quelques crabes car John nous avait dit qu’avec la pluie il y avait plus de chance qu’ils sortent. On s’est donc mis à leur recherche et au bout de 5 minutes de marche dans la grotte, on a trouvé notre premier : ENORME ! Avec des pinces impressionnantes ! John nous a laissé admiratif quand il s’en est emparé : il l’a saisi juste au dessus des pinces et très vite l’a saucissonné grâce à un énorme élastique en caoutchouc : KO la bestiole !
Au bout de deux heures et demi, on en avait mis 6 dans notre sac à dos. C’était déjà pas mal et la fatigue commençait à se faire sentir. On a donc décrété la fin de la chasse (John lui aurait bien continué jusqu’au petit matin) et on est reparti en direction du camping en prenant un raccourci dans la jungle. Malheureusement, John n’avait pas vraiment l’habitude d’emprunter cette route, et on s’est retrouvé très vite à tourner en rond. Mais heureusement, MAPS.ME était là et nous a aidé à retrouver notre chemin (mieux que des petits cailloux cette application !). A minuit et demi, on s’écroulait enfin sur nos matelas gonflables, trop contents de cette soirée et avec la promesse d’un bon repas pour le lendemain.
Car oui, John nous a laissé des crabes mais les cuisiner s’est révélé presque plus difficile que de les attraper. On a eu la bonne idée de détacher leur lien dans l’évier et à peine libéré, que l’un des crabes encore bien vif, s’est saisi de l’éponge pleine de liquide vaisselle. Impossible de le mettre dans la casserole comme ça, on a du se battre avec lui pendant une demi heure pour le faire lâcher, mais c’est nous qui avons gagné ! Et hop, direction la casserole ! 20 minutes plus tard les crabes étaient devenus tout rouge (ils sont bleu à la base), prêts à être dégustés.
On a passé d’autres moments du séjour en compagnie de John, ça a été l’occasion d’en savoir plus sur la vie sur l’île mais surtout il nous a appris quelque chose d’essentiel : la découpe de noix de coco !
Un grand merci à lui ! On regrette juste de ne pas avoir pu passer plus de temps sur l’île, on serait bien parti à la chasse aux roussettes ou aux langoustes avec lui !
Et des paysages magnifiques
Il me reste à vous parler des plages paradisiaques, des hautes falaises blanches plongeant dans l’eau turquoise, des grottes cachées au milieu d’une végétation luxuriante, des aquariums naturels… Heureusement que vous n’êtes plus en plein hiver, car sinon vous m’auriez détestée !
L’île est truffée de coins et recoins à visiter. Les brochures touristiques en répertorient quelque uns mais d’autres restent bien cachés ! En fait, la plupart des lieux de l’île appartiennent à une famille ou à un clan. Il faut donc souvent demander la permission avant de pénétrer quelque part, voir même donner un petit billet. Vous êtes alors accompagné d’un membre de la famille qui vous compte des légendes ou des petites anecdotes sur les lieux. Super sympa !
Voici une sélection des endroits qu’on a préférés sur l’île, attention les yeux !
On commence par « notre » plage, la plage de Luengoni : du sable blanc, fin comme de la farine, des filaos faisant tomber leurs branches dans une eau bleu turquoise, des petits rochers perdus au milieu de la baie… le paradis ! Que l’on partage avec des tortues : quand on y était, il y en avait plusieurs qui venaient brouter les herbiers juste devant la plage.
Voici ensuite les falaises de Jokin : on s’est émerveillé devant les nuances de bleu de l’eau et on a fait du masque et tuba aux pieds des falaises. On a vu pleins de poissons et un gros requin : sur le coup, on a pensé que c’était un requin pointe noir et on s’est mis à le suivre, puis, il s’est retourné et a commencé à avancer vers nous. Tout d’un coup, on n’était plus vraiment sûr qu’il soit si inoffensif et on a préféré fuir (on se rappelait encore les histoires que nous avaient racontées les gens sur le marché).
On continue avec la baie de Jinek, véritable aquarium naturel. On a adoré le snorkelling dans ces eaux, il y avait une visibilité de fou. Les photos se passent de commentaires.
On revient sur terre, ou plutôt dessous, avec la visite des grottes surnommées « Les Joyaux de Luengoni ». Propriété de la famille de Noël, c’est sa femme, Louise, qui nous a emmenés découvrir ces deux grottes. La première, à ciel ouvert, n’est pas extraordinaire si ce n’est son petit lac qui brille au fond, mais la deuxième, c’est une autre histoire ! On y est descendu avec des lampes étanches, dans un étroit boyau, pour arriver à un lac souterrain. Muni de nos masques et tubas, on ne s’est pas laissé le temps de réfléchir et on a plongé dans l’eau froide – bon pas si froide en vérité : environ 18 degrés – pour découvrir sous l’eau, à la lumière de nos torches, stalactites et stalagmites. Surprenant : ça donne un peu la frousse mais c’est magnifique (désolé, la photo ne rend pas hommage à ce que l’on a vu) :
Suite de la visite au sud de l’île, sur les falaises de Xodre. En bonne compagnie, on a découvert ces falaises déchiquetées, où la mer déchaînée vient se cogner avec un bruit sourd. Apparemment, en juillet, c’est un lieux privilégié pour observer les baleines. On s’y est promené guidé par Pierre, un oncle éloigné de John, qui nous a raconté toutes les légendes relatives au lieu, nous en a appris beaucoup sur la végétation de l’île et nous a fait découvrir plusieurs grottes. On a terminé la visite en allant voir un peu plus loin une grotte à ciel ouvert : ce n’est pas la grotte en elle-même qui a retenu notre attention mais plutôt la plage et la couleur de l’eau à proximité. On n’a pas résisté à faire un plouf !
Et je finis par une autre très belle plage, qui elle, se mérite : la Kiki Beach. Il faut faire 30 minutes de marche dans la jungle avant d’y arriver. C’est une toute petite plage coincée au milieu de hautes falaises et avec une eau translucide (encore !) et plein de coquillages, pour mon plus grand plaisir ! En plus on n’était que tous les quatre, avec Ludivine et Sylvain, pour en profiter !
Voilà, je crois que ça ne sert à rien d’en rajouter, vous aurez compris que Lifou c’est notre gros coup de cœur. Comme je vous le disais, on serait bien resté plus longtemps ici, il restait tellement de choses à faire et on était si bien ! Mais la suite n’est pas mal non plus, vous allez voir.
Wahou c’est le paradis !!
Effectivement des lieux enchanteurs qui dépaysent et font rêver…Hâte de lire la suite.
que de merveilleux paysages !!
trop belles toutes ces plages, ça fait vraiment envie !!!!
j’étais le wkend dernier avec la fille de nos amis qui habite maintenant en nouvelle calédonie
je comprends pourquoi elle ne veut pas revenir vivre à Arras !!!!!
Bonjour Nelly, j’espère que tout se passe bien pour toi.
Je comprends aussi qu’elle n’ait pas envie de rentrer !!
Que du bonheur ! merci pour ces récits. On apprend plein de choses …et toujours et encore de magnifiques photos on ne s’en lasse pas! Avez vous vu des « tricots rayés » ? François tu m’apprendras la découpe de la noix de coco stp ? Grosses bises à vous
Pas d’impatience, il faut continuer à lire la suite de nos aventures 😉
Pas de soucis pour les noix de coco. Petit conseil quand même, avec une machette, ça va tout seul !
La Nouvelle Calédonie est à la hauteur de sa réputation ! les plages ont des airs de paradis et on n’a qu’une envie plonger dans les photos avec vous héhé (surtout qu’ici il fait bien chaud !!)
J’ai bien ri avec la photo du crabe et de l’éponge ^^
Quest ce que c’est beau ! Francois fait le malin avec ses crabes mais je ne suis pas sur qu’il était rassuré !
Coucou les loulous,ce coup là c est sur ,des que les finances nous le permettent on part visiter ces superbes iles , ça fait longtemps que l’on penser faire un voyage par la bas alors vos photos et récits nous ont décidés
Quoi dire de plus ,des gens super sympa, des paysages magnifique ,et chez nous il pleut
Dégoûté!(je suis trop jaloux)
Allez, profitez bien de vos dernieres semaines, je pense que le retour au pays va être difficile
Grosses bises à tous les deux
Ça cest sûr, ça vaut vraiment le coup d’y aller, même si le billet coûte cher et qu’il faut bien aimer l’avion. En tout cas, n’hésitez pas à nous demander des conseils ! Bisous