On ne s’est pas trompé en choisissant le Ganesha Park

[Article écrit par Pauline]

 

Lorsqu’on préparait notre grand voyage, confortablement installé dans notre canapé à Troyes, on passait souvent beaucoup de temps à regarder les blogs d’autres voyageurs pour nous inspirer. C’est comme ça qu’en lisant les articles d’Orianne et David, un couple de TPE eux aussi, on a découvert le Ganesha Park, un camp d’éléphant pas comme les autres, tenu par un Français. Ils y avaient passé une semaine en tant que volontaires et avaient apparemment adoré l’expérience.

A la base, on n’avait pas prévu de s’arrêter en Thailande et puis quand l’idée d’y faire un tour a finalement germé, on a tout de suite repensé à ce parc. Aller poser nos valises pendant une semaine dans un lieu hors du commun nous paraissait être une bonne option ! On a donc envoyé un mail à François, le gérant du parc (et oui encore un) et 1 mois plus tard, après un long voyage en bus depuis Bangkok, on débarquait au Ganesha Park.

Avant de vous raconter notre expérience là-bas, je vais déjà vous expliquer ce que ce parc a de particulier. Comme je vous le disais, il est tenu par François, un Français tombé amoureux des éléphants et qui a créé ce parc depuis maintenant dix ans. Il compte aujourd’hui six éléphantes (oui, que des femelles !), toutes rescapées d’anciens camps pour touristes aux méthodes abusives. Ce n’est pas un scoop : beaucoup de camps d’éléphants en Asie maltraitent ces animaux. Ces camps proposent en général aux touristes des promenades de 20 min en nacelle, à la chaîne, toute la journée, ce qui finit par épuiser les éléphants, sans parler des mauvais traitements qu’on leur inflige. François les récupère donc pour essayer de les remettre sur pieds et de proposer aux touristes une rencontre avec les éléphants bien plus enrichissante. On peut ainsi passer une journée complète avec eux, à leur rythme. Au programme : promenade sur leur dos (mais à cru), baignade et repas. En une journée, on apprend un tas de chose sur les éléphants ! François propose aussi aux personnes qui ont plus de temps (comme nous !), de passer une semaine complète au camp en échange d’un coup de main pour l’accueil des touristes. Le travail consiste à les recevoir chaque soir à leur arrivée (au Ganesha Park, on arrive la veille pour faire connaissance avec tout le monde lors de la première soirée, puis on passe une journée complète avec les éléphants et encore une soirée pour revivre tous ces moments autour d’un bon dîner). On les accompagne aussi durant toute la journée : on porte appareils photo et tongs et surtout on essaie de les rassurer et de faire le lien entre eux et les mahouts, les maîtres des éléphants (comme les cornacs en Afrique), qui ne parlent ni anglais, ni français. Comme tous les touristes s’y rendant sont francophones, le travail est encore moins compliqué.

01 - avec François

02 - pas facile de se cacher quand on fait cette taille

 

Nous débarquons donc là-bas en fin de journée et on est chaleureusement accueilli par la grande famille du Ganesha Park. Je dis « grande » parce qu’en effet, il y a du monde sur place : outre François, sa femme et ses enfants, il y a aussi tous les mahouts et leur famille au sens large car frères et sœurs logent et travaillent aussi sur place. Sont présents aussi ce soir là : les volontaires de la semaine précédente, Manon et Clément (on ne les a pas vu longtemps mais on les a trouvé super, eux aussi voyage sur une longue période !), des personnes venues faire un stage de yoga un peu particulier (mêlant yoga traditionnel et méditation avec les éléphants) et les touristes qui passeront la journée avec les éléphants le lendemain. Sans parler de tous les animaux qui gravitent autour de tout ce beau monde : une quinzaine de chiens, énormément de poules, un petit chat tout mignon et un singe plutôt turbulent (en fait une vraie terreur : il ne fallait pas s’approcher d’elle sinon elle tirait les cheveux, nous déshabillait et volait tout ce qu’elle pouvait trouver).

03 - Wendy

 

On s’est tout de suite senti bien, d’autant plus qu’on ne s’attendait pas à découvrir un cadre aussi idyllique ! Le parc se situe en effet en surplomb du grand lac de Sanglaburi, entouré de falaises karstiques, et parsemé de petites habitations flottant sur l’eau, qu’on appelle ici des rafts. Au coucher du soleil, c’est magnifique !

04 - lac avec rafts

05 - coucher de soleil

 

Plusieurs petites maisons où habitent les mahouts et leur famille entourent une grande terrasse avec vue sur le lac, où tout le monde se réunit à l’heure des repas. Même les éléphants prennent parfois leur petit dej ici !

06 - repas sur la terrasse

 

Les bungalows pour les touristes sont situés un peu plus bas, dans un jardin avec des bougainvilliers énormes (mamie tu serais jalouse !). C’est là où nous avons logé durant ces 6 jours et c’était parfait : une chambre avec salle de bain rien que pour nous. Tous les matins, on ouvrait la fenêtre pour admirer le lac au réveil.

07 - le bougainvillier

 

Donc j’en reviens à notre premier soir là-bas. Après un apéro accompagné de frites (là encore une super idée du Ganesha Park : tous les soirs, c’est frites maison pour accueillir les nouveaux arrivants, au grand bonheur de nos ventres !), on passe le diner à discuter avec les autres touristes, avec tous une seule hâte : être au lendemain pour découvrir enfin les éléphants !

Après une bonne nuit de sommeil et un petit déj sur fond de « ça plane pour moi » mis à fond (c’est sûr, ça réveille !), il est temps de rejoindre les éléphants. Pour notre premier jour, on ne jouera pas notre rôle de volontaire mais on passera une journée complète avec les éléphants comme les autres touristes. Bon, on a quand même un peu les pétoches quand on découvre les gros pachydermes. Je ne fais pas trop la fière quand on monte dessus pour la première fois, je tremble de partout. Et puis ce n’est pas simple de monter là-dessus : l’éléphante a beau nous aider en soulevant la pâte, ça reste quand même assez haut et quelques gymnastiques sont nécessaires. Pour la descente, en revanche, c’est plus facile : on se laisse glisser comme sur un toboggan (démonstration en image).

08 - on est encerclé par les éléphants

09 - descente de l'elephant

 

Au début, c’est un peu difficile de trouver son équilibre sur le dos de ma compagne, c’est qu’elle est large et, même si elle marche lentement, ça balance quand même pas mal, surtout dans les descentes ! Mais je finis par trouver la position idéale, mes jambes calées derrières les oreilles de Namoule (c’est son nom) et je m’adapte au rythme tout en douceur de l’éléphant : contrairement à ce que j’avais imaginé, un éléphant ne fait vraiment aucun bruit quand il se déplace et apparemment il est très délicat et fait très attention à ne jamais rien écraser.

10 - sur Namoule

 

Mais à peine habitués, une nouvelle expérience nous attend : le moment du bain. Oulala… L’éléphante entre progressivement dans l’eau et nous aussi du coup : heureusement l’eau n’est pas froide. Puis vient le moment de l’immersion : après un puissant « woulong » de son mahout (qui veut surement dire « baisse toi » en thai), l’éléphante finit par s’immerger totalement et là, il faut se cramponner comme on peut pour ne pas tomber à l’eau. Mais avec les mahouts, impossible d’y échapper : ils nous défient de nous mettre debout, nous bousculent, font faire du rodéo aux éléphantes et au bout du compte on se retrouve forcément dans l’eau. Passé la première appréhension de nager à côté de ces énormes bêbêtes, on se rend vite compte qu’il n’y a aucun danger. L’éléphante fait très attention à nous et ne nous donne aucun coup. On peut alors s’amuser avec elle, tenter des acrobaties qu’on n’aurait pas pu faire sur la terre et se servir de la trompe de Yani (la plus grande éléphante) comme plongeoir. On n’arrive quand même pas au niveau des mahouts, qui voltigent sur leurs éléphants et effectuent des saltos impressionnants, pour ensuite remonter sur leur dos d’un coup de trompe. Nous, pour remonter sur les éléphants, c’est une autre histoire ! Les mahouts sympas font couler leur éléphant pour que ce soit plus facile mais les plus farceurs préfèrent nous regarder nous tortiller avec nos pantalons tout mouillés pour essayer de nous hisser dessus, je peux vous dire que c’est du sport !

11 - l'heure du bain

12 - juste avant de tomber à l'eau

13 - plongeon

 

Le reste de la journée se passe de la même façon : après une longue pause à midi pour se remettre de nos émotions, on retourne sur le dos des éléphants pour une nouvelle promenade et baignade. Plusieurs fois dans la journée, on s’occupe aussi de leur donner à manger : des bananiers à midi et des feuilles d’ananas le matin et le soir : c’est que ça mange c’est bête là, environ 300 kilos par jour. C’est toute une organisation pour pouvoir satisfaire l’appétit de ces demoiselles : tous les jours les mahouts et autres travailleurs du camp vont couper des bananiers pour les ramener au camp et le Ganesha Park se fait livrer des énormes camions de feuilles d’ananas tous les 2 jours. Apparemment en saison des pluies c’est plus simple, car les éléphantes sont laissées dans la forêt où elles peuvent se nourrir seules.

14 - repas du midi

15 - camion d'ananas

16 - miam c'est bon

 

Mais le moment le plus impressionnant pour moi restera celui où on a dû donner des compléments alimentaires pour les deux éléphantes les plus vieilles. En fait, c’est un mélange de farine de manioc, de sel, de riz et d’eau qu’on compacte sous forme de grosses boulettes et qu’il faut placer directement dans leur bouche. Quand la bouche de l’éléphant se referme sur votre main, on se demande comment elle va ressortir ! Mais encore une fois l’éléphante fait ça tout en délicatesse : on se retrouve en contact avec sa langue qui est humide mais pas gluante, puis elle rouvre la bouche pour libérer notre main qui ressort nickel. On ne risque rien au niveau des dents car elles sont situées bien plus profondément dans la bouche.

17 - complement alimentaire

 

A la fin de cette première journée, je suis complètement claquée : trop d’émotions, mais je suis ravie et ce n’est pas fini !

18 - éléphant de loin

19 - éléphant et terre

 

Le reste de la semaine n’a été que du bonheur ! On s’est familiarisé avec les éléphantes, on a fini par savoir les reconnaître, même sans leur mahout. En effet, chaque mahout a son éléphante. Au début, on identifiait donc les éléphantes en fonction du mahout qui se trouvait dessus, mais à la fin, on leur a trouvé à chacune des caractéristiques qui nous permettaient de les reconnaître : une queue sans poils pour Namoulé, un énorme ventre pour Tongkam, une crâne très creusé pour Sengdao…

20 - Sengdao

21 - Yani de près

22 - François avec Namoule

 

La plupart du temps, durant les promenades, on marchait à leur côté, ce qui était tout aussi sympa que d’être dessus : on suivait leur rythme lent en les accompagnant de la main et parfois, on avait même l’impression qu’elles nous regardaient et qu’elles nous souriaient. Il fallait juste faire attention au balancement de leur queue (hérissée de poils très durs, se prendre un coup peut faire bien mal !) et aussi aux chiens qui nous accompagnaient, qui, s’ils s’approchaient trop prêts, provoquaient un coup de pieds de nos copines : les chiens arrivaient toujours à l’éviter, nous c’était moins sûr, il fallait donc être vigilant. On a eu de la chance, car au début de la semaine on n’avait que des petits groupes de touristes, ce qui nous a permis de monter sur les éléphantes pour les promenades et de parfaire notre technique : on donnait des ordres comme les mahouts (« Py Eu » pour qu’elles avancent) mais ça marchait quand même moins bien ! A la fin de la semaine, les mahouts nous laissaient même monter dessus tout seul. Enfin, une fois, je les soupçonne d’avoir voulu me faire une petite farce : ils m’ont laissé guider Yani toute seule pour la baignade, mais cette dernière s’est d’abord arrêtée pour faire un autre type de bain et m’en faire profiter au passage : un bain de boue ! Il paraît que c’est bon pour la peau, et pour les éléphants cela leur permet de se débarrasser des parasites qu’ils ont sur eux : en séchant, la boue les emprisonne.

23 - pendant la promenade

23bis - Oeil de l'éléphant

24 - marche lente

25 - bain de boue

 

On a aussi appris à connaître les mahouts, tous de jeunes Birmans d’environ 20 ans. Ils étaient sept : un pour chaque éléphant plus Mike, le petit dernier qui était en apprentissage (il avait 14 ans). Tous de grands enfants, toujours en train de chahuter entre eux, d’inventer des jeux ou de taquiner les touristes (ce qui met rapidement à l’aise). Avec des coupes de cheveux originales, souvent suspendus à leur portable ou en train d’écouter les derniers tubes à la mode, ils ressemblent à tous les jeunes asiatiques qu’on avait croisé jusqu’à maintenant. Mais une fois sur leur éléphant, ils sont fascinants et forcent l’admiration. A l’aise dans n’importe quelle position, ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent sur leur éléphant : sauter de l’un à l’autre, se mettre debout en pleine marche ou même faire la sieste. C’était magnifique de les regarder le soir, à contre jour, faire du surf’elephant pendant la baignade : sans aucun tremblement, ils restaient debout sur le dos de leur monture qui s’immergeait dans l’eau en avançant, de loin, on avait l’impression qu’ils glissaient sur l’eau.

26 - Bo et Namoule

27 - Win allongé

28 - les mahouts à l'aise

 

Ils ne parlaient que très peu français, la communication était donc un peu difficile, d’autant plus qu’ils avaient souvent tendance à répondre oui à toutes mes questions. Mais ça ne nous a pas empêché de bien nous marrer avec eux et puis ils étaient très attachants : Bo, le plus vieux et le plus posé, au sourire ravageur ; Toon, une vraie tête de clown, toujours en train d’embêter les touristes ; Mike, le plus jeune donc, pour qui tous les touristes masculins sont des lady boys et qui a un déhanchement plutôt original ; San, aux cheveux orange et avec de nombreuses copines françaises ; Pepito, lui aussi plus posé, et qui met vraiment en confiance sur les éléphants ; Lung, le plus grande gueule, toujours en train d’embêter François et Win, un des plus discrets mais aussi un des plus chahuteurs (j’ai eu le droit à un pichet d’eau glacée sur la tête de sa part !).

29 - Bo

30 - Win et Namoule

31 - Mike et Jintala

 

On a passé des moments formidables avec eux, les touristes et les autres personnes du parc. On est obligé de parler de Milou, le photographe du parc, qui nous accompagnait toujours lors de nos excursions et qui était toujours là pour donner un coup de main pour aider les touristes à monter ou descendre des éléphants ; François et son fils Kenji, un humour à toute épreuve (ressemblant un peu à celui de la famille Batard, pour ceux qui ont la chance de le connaître !) et qui nous ont appris plein de choses sur les éléphants et la Thaïlande ; Ken, le chef des mahouts, toujours très attentionnés et None, le meilleur ami de François : 4 ans et déjà boxeur dans l’âme !

Les gens étaient toujours de bonne humeur : comme en Birmanie, on a fait le plein de sourires là-bas. Accompagner les touristes venus passer la journée était un grand plaisir pour nous. On les observait passer par différentes émotions : l’appréhension d’abord, puis l’émerveillement une fois monté sur les éléphants : la joie pouvait se lire sur leur visage. Le moment préféré était bien souvent la baignade, à laquelle on a pu participer à chaque fois. Entre saut, bousculade et rodéo, les rires fusaient dans tous les sens !

32 - éléphant qui sourie à Joëlle

 

Là encore, un petit mot pour les gens que nous avons rencontré au Ganesha : Philippe et Joëlle, « nos premiers touristes » en tant que volontaires, le courant est tout de suite passé avec eux et on a passé une merveilleuse journée en leur compagnie (si vous nous lisez : on attend les chocolats avec impatience 😉) ; Sévérine, Arnaud, Margaux et Maxence, une famille très dynamique, au top ! ; le club des 5 restaurateurs qui nous ont beaucoup fait rire ; Chloé, qui comme moi à été victime de parasites des éléphants (on a fait une allergie) ; Quentin qui a fini la journée en caleçon car Wendy s’était acharnée sur son pantalon ; Florian et Alexa, les volontaires qui nous ont succédés, avec qui on a partagé plein de bons moments (dont le bain de boue !) ; Emma la portraitiste, qui a fait de magnifiques photos lors de notre dernière journée, et les deux petites jumelles, Blanche et Hélène, leur grand frère et leurs parents.

33 - avec les jumelles

 

Bref un grand merci à tous les gens que nous avons cité dans cet article, nous avons passé une semaine merveilleuse en votre compagnie. En venant au Ganesha Park, on s’attendait à vivre une expérience hors du commun, mais on ne se doutait pas qu’on allait être autant touché sur le plan émotionnel. Là-bas, le temps s’écoulait lentement, calmement et pourtant, à la fin de la journée, on avait l’impression d’avoir vécu pleins de choses et on se sentait fatigué mais comblé !

34 - avec les mahouts

 

Malgré ce rythme lent, la semaine est passée à toute vitesse et les aux revoirs ont été douloureux… On s’est consolé avec les « à bientôt » des mahouts, après tout, on repassera peut être par là dans quelques temps, il parait qu’ils organisent des semaines pour devenir apprenti mahout ! Bon avec tout ça, si je ne vous ai pas convaincu d’aller y faire un tour si jamais vous vous rendez en Thailande, j’arrête d’écrire des articles !

35 - Win qui s'éloigne



11 réponses à “On ne s’est pas trompé en choisissant le Ganesha Park”

  1. Philippe et jojo dit :

    Coucou les loulou ,petit bonjour de france de jojo et fifi ,nous sommes rentrés avant hier et le retour est difficile (38 a bangkok et a peine 8 degrés arriver cher nous ) plus le boulot a reprendre vla le coup de déprime
    Super votre reportage sur ganesha
    Et comme chose promis chose du ,donner nous votre adresse actuelle pour que l’on vous envoi ce petit cadeau (dite nous la couleur que vous préférez ) et surtout penser au temps de transport grosse bise a tous les deux et on reste en contact
    Jojo et phil

    • Francois dit :

      Coucou, j’espère que vous avez bien apprécié votre séjour thaïlandais. De notre côté, on vient d’arriver aux Philippines. Ce fut en tout cas un plaisir de vous rencontrer, et peut être à une prochaine !
      PS: checkez votre boîte mail.

  2. Marie-Laure & Bernard dit :

    Bravo pour le jeu de mots dans le titre ;finalement,un éléphant ça ne trompe pas énormément…
    Bises à nos aventuriers,chanceux de vivre de si belles expériences.

  3. Regine et philippe dit :

    Et bien moi je suis convaincue… c’est vraiment un endroit hors du temps que j’aurais bien envie de découvrir pour y faire la connaissance des éléphants et de vos nouveaux amis. Merci pour celle belles rencontres …grosses bises

  4. Marie dit :

    Alors là si François et kenji avaient le même humour que la famille Batard vous avez dû vouz marrer ^^.
    Les photos sont superbes. J’ai une petite préférence pour celle où tu te fais arroser de boue Pauline 😉
    Gros bisous

  5. Pauline D dit :

    Waouh quelle superbe expérience ça a du être !
    Les photos respirent de votre joie 🙂
    Et alors Pauline, verdict pour le bain de boue ? :p

    • Pauline BUSSON dit :

      Trop drôle! J’avais entendu dire qu’elles faisaient ça de temps en temps et j’espérais secrètement avoir la chance d’y avoir le droit! Et bien ça a pas loupé!

  6. Mo' dit :

    Non mais je suis tombée amoureuse des photos et ton récit me donne plus qu’envie d’y aller ! Tu l’sais que ces animaux, représentent un symbole important pour moi, et ce serait un rêve que de les rencontrer dans leur milieu naturel, à juste les observer… Je vous envie! Maintenant je suis blasée, parce que je suis sur Paris dans la grisaille…gros bisous à vous deux!

    • Pauline BUSSON dit :

      On y retourne ensemble si tu veux ! Ils organisent aussi des semaines pour devenir apprenti mahout.

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